L'exil du magicien

Rien ne peut déranger l'ordre des choses
Il faut passer des portes glaciales
Pour réapprendre les gestes
Prélude à la paix
Tout est à inventer
Le temps L'amour
Le jour La nuit
L'eau claire
Et puis
Les brumes se dissipent
Tout se délivre
Renaître à la tendresse
C'est un sourire dans la nuit
Qui embaume les lieux
Et dissipe les brumes
Un soleil se lève
Sur ce monde contre la solitude
Non, les magiciens ne trahissent pas
Sous leurs sourires
Fenêtres ouvertes
Sur des soleils
Et des beautés lointaines
Ils colorent leurs jours solitaires
D'une absence qui prend leur empreinte
Ils réinventent les hommes
En faisant avancer l'espace et le temps
Ils sont la mère
Ils sont l'enfant
Ils sont le corps des étoiles

J'aime bcp celui là...

Vi il a des textes sympas Nicola Sirkis, encore d'autres qui ne sont aps encore ici !!!